Piccolo.[Validé]

Prénom: Piccolo.

Nom: Inconnu. Les Nameks n'ont pas de réelle famille.

Âge: Inconnu. Piccolo est un namek aussi jeune que robuste.

Race: Namek.

Biographie: Dans un râle atroce, le namek tomba à genoux devant le jeune Sangoku, épuisé, mais fier de lui. Après un long combat, il était enfin venu à bout du démon qui avait manqué de devenir le pire tyran de l’univers…
Piccolo-Daimao vivait ses dernières secondes. Et il le savait… Mais sa tâche de destruction n’était pas terminée. Relevant la tête, il ricana, et ouvrit la bouche. Un œuf énorme en sortit. Un œuf de Namek. Le démon aurait une descendance…
Sangoku voulu détruire cette nouvelle menace, mais il était trop tard. Piccolo avait déjà téléporté son fils loin, très loin… Il ricana une dernière fois, agenouillé devant le jeune sayen qui l’avait vaincu, et s’effondra sur lui même.

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Au beau milieu des montagnes rocheuses, des raclements se faisaient entendre, faisant fuir les oiseaux qui osaient s’aventurer aussi haut.
Sur un petit plateau placé en contrebas d’une colline, un œuf étrange s’agitait en tout sens. Un bras, puis une jambe, tout deux verdâtres ne tardèrent pas à en émerger.
Au bout de quelques minutes, la créature s’était débarrassée complètement de son enveloppe, et effectuait ses premiers pas sur Terre, en marmonnant, tête baissée.

-Papa… Tu n’es pas mort pour rien. Je te vengerais !

Durant plusieurs années, le jeune namek vécut dans les montagnes, s’entraînant sans relâche. N’ayant reçu aucun prénom, il choisit de conserver celui que portait son père, « Piccolo ».
Ce nom lui plaisait, le rattachant au but existentiel qu’il s’était donné, à savoir « tuer Sangoku ».
En un temps record, il devint adulte, et dépassa de très loin son père, en matière de puissance… Il se sentait prêt à accomplir sa vengeance.
Le championnat des arts martiaux approchait à grands pas. La foule qui venait y assister serait le témoin de la mort du grand Sangoku, et de la victoire écrasante de Piccolo, l’invincible démon !
Cette pensée fit sourire le namek, qui quitta les montagnes en volant, pour rejoindre la ville, et s’inscrire enfin à la célèbre compétition.
****
« Vainqueur : Piccolo ! »
Une ovation monta de la foule. Cette année, le défi serait de taille, et le spectacle digne d’être vu ! Sangoku, le jeune homme à la queue de singe était de retour, et son principal adversaire serait sans doute cet individu étrange, à la peau verdâtre et au regard glacé, qui venait d’éliminer son premier ennemi d’un simple revers.
Qui était-il ? D’où venait-il ? Le grand Sangoku parviendrait-il à lui tenir tête ? Trop préoccupés par ces questions, les spectateurs se désintéressèrent des combats ne concernant pas les deux vedettes du championnat…
Quelle ne fut pas leur joie, lorsqu’ils virent monter sur le ring Sangoku et Piccolo ! La grande finale tant espérée avait enfin lieu. Nul ne se doutait des enjeux qu’elle représentait…
Les deux combattants se toisèrent quelques instants… Puis le combat commença.
Tous deux jeunes et forts, les guerriers semblaient être de forces égales. A chaque attaque puissante répondait une parade adaptée. Devant cet affrontement extraordinaire, digne de l’époque du maître des Tortues, la foule clamait des encouragements, des paris s’effectuaient.
C’est alors qu’une vague d’énergie destructrice lancée par Piccolo se dirigea vers les spectateurs, impuissants. Au dernier moment, Sangoku s’interposa, sauvant du même coup des centaines d’innocents. Tous comprirent alors. Le combattant à la peau verte était terriblement dangereux. Un homme fit le rapprochement entre lui et lui démon ayant menacé l’équilibre terrestre, bien des années auparavant.
Et ce fut la panique. Tous scandaient le nom de Sangoku, d’autres prirent la fuite. Stoïque, l’arbitre demeura fidèle à son poste, malgré la peur qui lui tordait les boyaux.
Soudain, le favori désigné par les spectateurs comme leur sauveur tomba au sol, blessé. Saisissant sa chance, Piccolo le priva de chacun de ses membres, puis s’éleva dans les cieux, préparant son ultime attaque, qui lui permettrait d’accomplir enfin la vengeance de son père, la seule raison pour laquelle il était né…
La terrible décharge d’énergie s’abattit sur Sangoku, creusant un cratère de plusieurs mètres de profondeur. Le namek éclata de rire… Et se retourna juste à temps, pour voir son pire ennemi sain et sauf derrière lui, pratiquant la danse de l’air, même privé de ses membres.
Le choc fut terrible. Epuisé par sa soudaine dépense de ki, Piccolo fut projeté sur le sol, rendu incapable du moindre mouvement.
Sangoku avait gagné le combat, en toute légalité. Et il avait perdu, de même. L’échec était cuisant. Toutes ces années d’entraînement farouche pour en arriver là ! Une larme de fureur glissa de la paupière rabattue du namek.
« Tiens, mange. »
Ouvrant de nouveau les yeux, Piccolo reconnu le contour rendu flou par la fatigue de son adversaire, tendant vers lui ce qui ressemblait à un senzu, ces haricots sacrés guérissant toute blessure, même la plus grave et la plus incurable.
Sans hésiter, avant même que les compagnons du vainqueur n’aient pu intervenir, le vaincu avala le remède. Il sentit chacune de ses plaies se refermer, son énergie revenir.
Toute trace de fatigue disparut de ses traits pourtant usés.
Un jeune homme chauve apparut à proximité de son adversaire.
« Sangoku ! Tu es fou ! Veux tu recommencer un combat dans lequel tu as faillit laisser ta vie, et condamner ainsi la Terre entière à la destruction !? »
Le jeune combattant éclata de rire, et lui répondit sur un ton tranquille.
« Il n’y a rien à craindre, Krillin. A présent, je sais que je pourrais toujours le vaincre, quelles que soient les circonstances. Jamais plus la Terre ne sera soumise au règne d’un démon tel que lui ! »
Refaisant son apparition, l’arbitre interrompit le dialogue, et déclara Sangoku vainqueur.
Dégoûté, humilié, mais bien vivant, Piccolo s’envola en direction des montagnes. On ne le revit plus.

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« Qui êtes vous ; peuchère ! Répondez, ou je vous fait un joli trou dans la boite crânienne ! »
Le sayen observait avec dédain le paysan brandissant un lourd fusil, juste devant lui.
« Analyse en cours… Ah, deux, seulement… Les terriens sont donc bel et bien faibles. Carrot devrait être facile à retrouver. »
« Tu t’moques de moi, salaud ! Crève ! »
Le paysan appuya sur la gâchette de son arme. Une volée de plomb en jaillit, très vite arrêtée par le sayen. Devant le regard incrédule de l’homme qui lui faisait face, il renvoya la nuée mortelle à son expéditeur, qui mourut sur le coup.
« Pathétique… »
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Silencieux, en parfaite harmonie avec les éléments naturels l’entourant, Piccolo méditait seul, lorsqu’il sentit approcher une énorme puissance. Il sentit, et vit cette puissance se poser devant lui, sous la forme d’un individu imposant, vêtu d’une armure à larges épaulettes. Il portait à l’œil un appareil que le namek ne connaissait pas. Ses cheveux étaient à l’image de sa force : si longs qu’ils touchaient terre.
« Mmmh… Celui ci a une puissance assez élevée. Mais il ne vaut pas Carot… »
Piccolo toisa avec inquiétude l’individu. Même lui, combattant redouté par le grand Sangoku ne faisait pas le poids. Cependant, la peur le poussa à frapper le colosse, qui l’envoya au sol plus rapidement qu’il ne faut pour le dire, avant de repartir en volant à une vitesse irréelle. Furieux d’avoir été ainsi bafoué, le namek se releva, et suivit l’aura du sayen. Son vol le mena à l’île de Tortue géniale, où se tenaient Sangoku et son fils.
Par prudence, en attendant que le colosse soit seul, il se dissimula derrière un buisson, et observa la scène. Devant ses yeux, un drame se jouait. L’avenir de la Terre était entre les mains de Sangoku, qui se révélait être un sayen, et pas des moindres ! D’après l’inconnu aux longs cheveux, il s’agissait de son frère cadet. Et si jamais ce dernier refusait de mener à bien la tâche qui lui avait été confiée, à savoir, tuer chaque être humain peuplant la Terre, son fils, Sangohan, mourait.
Impuissant et furieux de voir son rôle de tyran occupé par quelqu’un de plus fort que lui, Piccolo vit le grand sayen attraper Sangohan par le bras, puis s’enfuir.
Sortant de sa cachette, le namek se dévoila à Sangoku. Sa décision était prise. Ils allaient faire équipe. Tous deux trouveraient leur comte. Le combattant sayen sauverait sa Terre bien aimée, et le guerrier namek redeviendrait la seule menace sérieuse. L’entente fut vite mise en place, et les deux ennemis devenus alliés partirent sur les traces du redoutable sayen.

****

« Ah ! Vous êtes finalement venus, cloportes ! Votre faiblesse vous perdra… »
D’un même mouvement, Sangoku et Piccolo se posèrent lestement sur le sol. Le second prit la parole. Seuls deux mots se firent entendre, et résonnèrent longtemps sur la place.
« Ta gueule. »
Prenant cette formulation pour une provocation désespérée, le puissant sayen partit d’un grand rire mauvais, avant d’ajuster son détecteur. Le combat allait débuter.
Les deux alliés furent très vite en difficulté. La puissance de leurs coups ne perçaient pas la défense de Radditz, et celui-ci parvenait à riposter avec tant et tant de force et de hargne que Piccolo ne tarda pas à perdre son bras gauche. Les deux terriens ne s’avouèrent pourtant pas vaincus pour autant. Le namek n’avait pas perdu son temps, dans les montagnes. Il allait utiliser la technique qu’il y avait apprise. Il lui fallait seulement un peu de temps…
Précipitamment, les deux combattants se mirent d’accord. Sangoku fonça au corps à corps, tandis que Piccolo se concentrait. Il cessa très vite de voir le monde extérieur. Il n’était plus qu’une bête sauvage luttant seul contre une armée. Toute la rage du combattant se déversait dans ses veines, pour atteindre un point culminant sur les deux doigts de sa main encore valide, posés sur son front. Les minutes passèrent. Des minutes qui semblèrent hors du temps au namek, jusqu’à ce que son propre cri fende l’air.
«Que le diable t’emporte, sayen ! Makenkosappo ! »
Un rayon énergétique chargé d’une puissance dépassant l’entendement se propagea à une vitesse supersonique. La terre trembla, une épaisse fumée se souleva.
Et pourtant, le terrible Radditz était encore debout. Seule son épaule droite avait été endommagée. Il avait été plus rapide. Tout semblait perdu. Affaibli par cette évidence, Piccolo sentit ses forces décliner, quand soudain, le titanesque sayen s’effondra sur le sol. Derrière lui, Sangoku triomphait, en serrant entre ses mains éraflées sa queue de singe. Le namek exultait. Il allait préparer un second rayon d’énergie, lorsque Radditz se mit à supplier Sangoku, prétendant regretter le plus vile de ses actes, dont il n’aurait pas hésité à se vanter quelques secondes plus tôt. Le jeune homme semblait se laisser séduire, malgré les cris de Piccolo. Et il le lâcha.
Aussitôt, en guise de remerciements, celui qui disait être son frère le frappa en pleine poitrine, et se prépara à lui administrer le coup de grâce. Une sorte de boulet de canon, projeté à pleine vitesse en direction de sa tempe l’en empêcha. Il s’agissait de Sangohan, le jeune fils de Sangoku. L’espoir renaissait, encore une fois. Et celui qui jadis sortit vainqueur de bien des affrontements contre les pires démons était fou furieux.
Au bout de quelques secondes, il parvint à immobiliser complètement son traître de frère en se plaquant contre son dos, enserrant brutalement ses membres.
Piccolo n’hésita pas. Il prépara son attaque, bien conscient que sa victoire serait double ; il tuerait Radditz, mais aussi son éternel rival. Son père serait vengé.
« Adieu, Sangoku. Makkenkosappo ! »
Le jet de lumière traversa les deux combattants, qui tombèrent l’un sur l’autre, foudroyés. Le sayen à la force colossale eut le temps de murmurer quelques mots.
« Je n’étais qu’un éclaireur… Les deux autres vont arriver. Ils me vengeront, et s’empareront des boules de cristal pour me rappeler à la vie ! Vous êtes… »
Piccolo l’interrompit en l’achevant d’un coup de pied, avant de s’agenouiller auprès de son ancien ennemi, qui se contenta de rire doucement en crachant du sang. Il prétendait s’inquiéter de la dispute qu’il devrait essuyer de la part de sa femme, Chichi, pour l’avoir laissée seule avec Sangohan.
Après quoi, il rendit l’âme. Mais, à la grande surprise du namek, son corps disparut comme par enchantement. Une œuvre du Tout-Puissant. Le travail de Sangoku n’était pas terminé.
Un petit couinement fit sortir Piccolo de ses réflexions. Il en avait oublié Sangohan.
Réunissant ses forces, le combattant se redressa, et toisa le fils de son plus grand ennemi avec un mépris souverain. Cependant, l’enfant dégageait une aura particulière, et il venait de prouver sa valeur en combat. Le namek hocha la tête, et partit en direction des montagnes avec le jeune garçon. Il en ferait un véritable combattant, un pourfendeur d’envahisseurs.

****

Piccolo déposa son jeune passager sur le sol, avant de lui annoncer les règles de son entraînement, d’une voix qui ne manquait pas de fermeté.
« Ecoute moi bien, Sangohan. Ton père est mort, et nous n’avons qu’une seule année. Tu vas devenir un combattant. Je t’y forcerais, que tu le veuille ou non. »
-Mais, mais, je ne peux pas, moi ! Je veux devenir un scientifique, pas un guerrier. Et puis Pa…Pa… Papa !!
« Silence ! Si tu ne t’entraînes pas, il n’y aura plus un seul scientifique, ni même un seul homme sur cette Terre pour te regretter. Débrouille toi ici seul durant six mois. Si tu survis, tu seras prêt à recevoir mon enseignement. »
Sans laisser le temps au garçon de protester, Piccolo s’envola, laissant son élève seul, complètement désemparé. Il ne revint qu’à la nuit tombée, pour lui procurer un peu de nourriture, une dague et des vêtements de combat. Ce fut sa dernière aide, et durant six mois, il ne fit qu’observer. Le jeune Sangohan survécut, contre toute attente. Son caractère s’était endurcit, si bien que le namek parvint à lui faire atteindre un excellent niveau durant les six derniers mois. Seulement, l’heure de l’ultime combat approchait… [JE FINIRAIS CE SOIR]

Description physique: Dire que Piccolo est un namek revient à résumer son aspect physique. Relativement grand, la peau verdâtre, dôté d'une paire d'antennes le plus souvent dissimulées sous un turban chargé de poids d'entraînement, l'oeil vif et les jambes solides, Piccolo est en fait considéré comme l'un des plus beaux nameks... ce qui, à l'échelle humaine, ne signifie pas grand chose, sinon rien. Tous les nameks se ressemblent.

Caractère: Froid, distant et imperturbable, Piccolo possède le parfait profil du combattant. Un nombre particulièrement infime de choses peuvent le faire sortir de lui même, ce qui explique que la plupart de ses attaques soient inaccessibles aux humains, aux capacités de concentration largement inférieures...

Armes: Aucune. Un namek combat toujours à mains nues.

Techniques: [On verra ce soir]

Jolie présentation, je te valide donc sur ce fait! Bienvenu parmis-nous, amuse-toi bien.

Tsssss Elle a pas finie sa présento ma Despe... (Enfin bon, vu la mienne...) Ah, prendre un perso existant sans faire remuer tes meninges, j'te reconnais pas là... Enfin bon, l'essentiel est qu'il y ai quelqu'un pour me tenir compagnie ici ^^

T'Chou !!!

^^

Bienvenue parmi nous Piccolo, j'espère que tu t'y plairas!
Ta Validation est en attente, juste le temps que tu mettes tes techniques en place et ce sera bon!

Bon, bha alors validation en attente, me suis trop emporté tellement c'était beau!

-________-` la ses plus que je croyait T_T toi si en plus

Bon bienvenu